Après des études d’agronomie et de foresterie, et un service national en coopération à Man, en Côte d’Ivoire, je suis affecté à la Direction départementale de l’agriculture de Haute-Loire (aménagement rural, reboisement, tourisme rural), puis comme directeur de l’agriculture aux Comores, au moment de l’indépendance.
Je reviens à Paris, au Ministère de l’industrie (approvisionnement, recherche et innovation pour les industries du bois et du papier). Après une année sabbatique à l’Institut Auguste Comte, je passe au Ministère de la recherche (secteur agroalimentaire, biotechnologies), puis suis affecté à Moscou, comme attaché agricole en URSS.
De retour, j’entre à l’Office national des forêts : après un bref passage à la direction générale à Paris, je suis nommé directeur régional adjoint en Provence-Alpes-Côte d’Azur, puis directeur régional de Corse, et ensuite d’Auvergne.
Nommé ingénieur général, je rejoins le conseil général du ministère, à Paris, avec une mise à disposition partielle dans l’équipe d’enseignants-chercheurs d’AgroParisTech-ENGREF à Clermont-Ferrand : je partage mon temps entre les missions ministérielles (pénibilité et âge de la retraite des ouvriers forestiers dans cinq pays d’Europe, aménagement autour du Viaduc de Millau, prospective de la forêt française, schéma stratégique de massif forestier pour le Massif central, congrès forestier mondial, en 2009 à Buenos Aires, Congrès mondial de recherche forestière de l’IUFRO en 2010 à Séoul etc.) et les activités de l’École.
À la retraite depuis mai 2011, j’ai achevé le rapport interministériel sur la forêt et le bois dans le Massif central, j'ai co-animé un projet de recherche sur forêt et société (dans le cadre des colloques de l’ASRDLF, Martinique 2011, Belfort 2012, Mons 2013).
Je suis administrateur de la « Plateforme 21 pour le développement durable du Massif central » et membre du Conseil scientifique du parc naturel régional de Millevaches en Limousin.
Je suis membre du Groupe d’histoire des forêts françaises (GHFF).
Je suis administrateur, depuis le printemps 2016, de l’Association de sauvegarde des Côtes de Clermont (ASCOT).
Depuis le printemps 2013, je suis apiculteur, avec sept ruches, dont une sur le toit de ma maison.
